Le diabète de type 1

L’essentiel à savoir sur le diabète de type 1

Egalement appelé diabète sucré, et autrefois diabète insulinodépendant (DID), cette maladie auto-immune est liée à une incapacité du pancréas à produire une quantité suffisante d’insuline, servant à réguler le taux de glucose dans le sang. Elle est souvent rencontrée dans l’enfance ou l’adolescence, d’où son autre nom « diabète juvénile ». Selon les statistiques, ce type de diabète représente 15% des cas de diabètes et se rencontre dans la majorité des cas chez une personne non obèse de moins de 30 ans.

En termes plus clairs, cela signifie que les cellules du pancréas responsables de la fabrication d’insuline ont été détruites par le système immunitaire, d’où l’incapacité du pancréas à produire de l’insuline. Dans son fonctionnement normal, le corps secrète de l’insuline après augmentation du taux de sucre (après un repas), cet élément secrété permet au sucre présent dans le sang de pénétrer à l’intérieur des cellules. Dans le cas où la personne est touchée de diabète type 1, le taux de sucre stocké dans le sang est élevé vu que son corps de ne secrète pas convenablement d’insuline.

Sources / Causes du diabète de type 1

Suivant une action anormale du système immunitaire, l’organisme refuse les cellules bêta de Langerhans et détruit par la suite ces derniers par les anticorps et les lymphocytes. La pénétration du sucre dans le sang est alors rompue et deviendra impossible par la suite. Par conséquence, le taux de glucose dans le s’élève.

Plusieurs éléments ont été relevés, sans être exhaustif, comme facteurs du diabète de type 1 :

  • Les facteurs environnementaux tels que les virus, les toxines. Pour cette raison, le diabète de type 1 est fréquemment associé à d’autres maladies auto-immunes (maladie coeliaque, vitiligo, maladie d’Addison, myxœdème idiopathique, maladie de Basedow, ou encore la thyroïde de Hashimoto)
  • La prédisposition génétique au diabète type 1 en lien à des gènes situés sur le bras court du chromosome 6, dans le système HLA. Cette prédisposition génétique s’explique par une altération progressive des fonctions de sécrétion de l’insuline et de la tolérance au glucose durant la phase pré-diabétique. A ce stade, ces anomalies sont encore réversibles, toutefois au-delà du seuil critique de 20% sur le nombre de cellules bêta Langerhansiennes fonctionnelles, et/ou suite aux facteurs externes expliqués antérieurement, le diabète de type 1 se révèle et reste irréversible.

Symptômes du diabète de type 1

Les premiers symptômes d’un diabète de type 1 sont des signes d’hyperglycémie :

  • Une vision floue
  • Une acuité mentale réduite
  • Une sensation de soif et de faim extrêmes anormales
  • Une haleina à odeur de pomme verte
  • Un besoin plus fréquent d’uriner avec un volume d’urine plus abondant
  • Un état de fatigue
  • Une cicatrisation plus lente des plaies
  • De fréquentes infections cutanées
  • Malgré un appétit élevé, une perte de poids importante inexpliquée.

D’autres symptômes sont classés comme étant des signes d’urgence, au stade où la maladie risque d’évoluer en coma par acidocétose / coma diabétique (manque vital d’insuline). Ces symptômes d’urgence sont :

  • La confusion
  • Une perte de connaissance
  • L’accélération du rythme respiratoire
  • L’accélération du rythme cardiaque
  • L’haleine fruitée témoignant une acidocétose diabétique
  • Une perte de coordination motrice
  • Des douleurs au niveau de l’abdomen
  • La nausée
  • Des vomissements
  • Une difficulté à parler de façon normale

Un seul de ces symptômes cités devrait alerter la personne concernée et l’amener à se rendre dans attendre à un hôpital.

Diagnostic du diabète de type 1

Le médecin en charge du diagnostic vérifie de premier abord le taux de sucre contenu dans le sang. Cette mesure s’effectue par différents procédés :

  • Un test de glycémie fait à jeun avant le petit déjeuner
  • Un test de glycémie fait au hasard durant la journée
  • Un test de glycémie effectué 2 heures après une charge de glucide normale.

Ces 3 procédés permettront de déterminer et justifier, dans le cas où le diagnostic du diabète de type 1 est confirmé, le taux de sucre sanguin élevé comparé à un certain seuil.

Prévention du diabète de type 1

Avant de penser à ces symptômes, et avant même d’effectuer ces mesures de taux de glycémie, prendre soin de santé se doit d’être un réflexe chez les personnes saines. « Surveiller son taux de sucre » devrait se traduire par limiter tout excès de sucre dans l’alimentation quotidienne (proscrire les boissons gazeuses dopées de sucre ou de substitutifs, manger de façon plus équilibré et éviter les encas trop gras et trop caloriques). Aussi, le corps fonctionnera mieux en effectuant les exercices physiques réguliers, le fonctionnement du sucre et de l’insuline vous en seront reconnaissant.

Traitement et régime alimentaire du diabète de type 1

Traiter le diabète de type 1 implique au patient d’adopter un régime alimentaire spécifique et de traiter le problème d’insuffisance d’insuline. Les horaires de repas doivent être respectés de façon régulière vu que cela assure l’équilibre glycémique. Le régime s’adaptera en fonction des activités sportives, notamment en augmentant la ration énergétique complète et en ajoutant des encas en amont et en aval de l’effort physique.

L’alimentation prescrite

Une personne diabétique de type 1 peut s’alimenter normalement, toutefois sous réserve d’une alimentation bien équilibrée et de recommandations finement détaillées. Dans cette optique, il est important de garder le patient à son poids normal.

Trois objectifs sont recherchés :

  • Un équilibre nutritionnel correct
  • Une constance sur le taux de glycémie, cela se fait en mesurant de façon systématique les glucides et en adaptant la dose d’insuline rapide à chaque repas
  • Une correction des erreurs diététiques pouvant accélérer l’athérosclérose.

La répartition calorique globale se présente comme suit :

  • 40 à 50% de glucides, tant dans un régime normocalorique tant dans un régime hypocalorique
  • 35 à 40% de lipides
  • 15 à 20% de protides.

D’abord, il est parfois difficile pour le sujet diabétique de type 1 de doser les 35% de lipides. Pour cela il est conseillé de :

  • Choisir des aliments maigres
  • Cuire à l’eau, à la vapeur où en utilisant des poêles à revêtement antiadhésif afin d’éviter les matières grasses.
  • Privilégier l’huile de tournesol ou de maïs dans la préparation des salades
  • Consommer beaucoup de poisson
  • Diminuer le taux de cholestérol en diminuant les graisses saturées, cela contribue à réduire les risques d’athérosclérose qui est l’un des principales causes de mortalité chez les patients atteints de diabète de type 1.
  • Restreindre de façon modérée le sel afin de prévenir une hypertension artérielle.

Après cela, pour le cas des glucides, le régime hypoglucidique n’est plus prescrit du fait que cela entraîne une augmentation néfaste des lipides sur le long terme. Les glucides ayant une faible propriété hyperglycémiante sont les plus conseillés : lentilles, pois cassés et haricots secs. Le sucre est autorisé uniquement durant le repas mais toujours en recherchant cet équilibre nutritionnel.

Ensuite, il est obligatoire de consommer des fibres puisqu’une fois mélangés avec les aliments, elles contribuent au ralentissement du cholestérol et à la régulation du transit intestinal, et même si ces derniers n’ont aucun rôle nutritif. Ou pourra citer : les flocons de céréales, les légumes secs, la farine complète, le pain complet, les poireaux, les épinards, le céleri ou encore le riz brun comme fibres.

Pour le cas des produits de régime, il est fortement préconisé de lire avec soin les étiquettes du fait que certains produits ne sont pas équilibrés sur le plan nutritif. Au final, certains aliments sont caloriques du fait qu’il y ait, malgré le glucide allégé, un enrichissement en lipides et autres nutriments. Sur l’étiquette de ces produits de régime sera alors mentionné les termes « pour diabétique » ou « hypoglucidique ». Il importe au patient atteint du diabète de type 1 de vérifier les apports caloriques mentionnées sur les étiquettes.

La question d’insuline, un traitement à vie

Pour un patient atteint du diabète de type 1, le traitement par insuline est le seul médicament. Ayant évolué depuis nombreuses années, la fabrication à des fins de traitement de l’insuline a donné fruit à des formes faciles à prendre en main : le stylo à insuline. L’injection, indolore, est facilitée et devient plus pratique avec un dosage qui permet de bien rationner l’insuline (100 unités par ml).

Cette possibilité d’injecter quotidiennement de l’insuline impose de fortes contraintes aux personnes atteintes du diabète de type 1. Plus le nombre d’injections augmente, plus il faudra du contrôle sur le taux de glycémie.

Une méthode semble être efficace, l’insulinothérapie par pompe, cela permet d’imiter de façon remarquable la sécrétion physiologique d’insuline. Perfusée de façon régulière et continue par un pousse-seringue miniature alimenté par piles, l’insuline pourra être gérée en matière de débit et ainsi contourner les problèmes de diabète très instables. Cette méthode convient tout à fait au cas des femmes désireuses de débuter une grossesse ou encore aux diabétiques atteints des complications oculaire et rénales graves.

Des perspectives de recherche sur le diabète de type 1

Nous pouvons être optimistes sur l’avenir, des travaux de recherchent aboutissent à l’heure actuelle à des solutions contre ce premier type de diabète.

Le pancréas artificiel

Existant depuis 1980, les pancréas artificiels sont des grosses machines permettant d’analyser la glycémie via des électrodes à glucose. Les valeurs de la glycémie sont reçues par un logiciel, traitées pour en déduire des algorithmes physiologiques, tout cela permet de programmer une quantité adéquate d’insuline. S’ajoutera à tout ce système une pompe à perfusion d’insuline.

La greffe d’îlots de Langerhans

Suite aux évolutions des traitements immunosuppresseurs depuis 1984, la recherche sur la transplantation pancréatique a connu son essor. Etant donné que la conservation du pancréas est uniquement limitée à 6 heures après prélèvement et que la greffe de pancréas se limite par rapport au recueil d’organes, une autre solution a vu le jour : la greffe d’îlots de Langerhans partant du principe d’isolement et purification des îlots de tissu endocrine. Ces derniers sont alors implantés dans une zone de l’organisme où l’insuline est libérée par voie portale (par la foie et cavité péritonéale).

Les patients diabétiques de type 1 témoignent que la piqûre d’insuline (2 à 3 fois au quotidien) est épuisante. Ce qui pousse les chercheurs vers d’autres modes d’administration de l’insuline. Mais l’insuline se dégrade dans l’estomac, le mode d’absorption se pose comme limite. Il est de ce fait préférable de l’administrer dans la muqueuse nasale (en dehors) ou dans la muqueuse intestinale ou rectale (au-delà).

Le lecteur de glycémie, cette fois-ci sans piqûre !

Ceci est une grande avancée puisqu’il permet de relever de façon continue le taux de glucose. FreeStyle Libre, voilà comment cette invention a été brevetée, se compose d’un filament fixé à un capteur fixé sur la peau à l’arrière du bras, et le tout sans piqûre! Ce nouveau procédé ayant vu le jour en juin 2017 pourrait très bien convenir à tous les patients sous traitement d’insuline.

Risques et complications possibles du diabète de type 1

Le diabète de type 1 présente pour le patient des complications que ce soit à court ou à long terme. Les questions d’hypoglycémie et d’hyperglycémie sont des complications à court terme et doivent être suivies de près puis traitées de façon réactive et avec précision. Le risque d’une baisse anormale du sucre dans le sang prédomine dans la vie quotidienne de la personne. Cela pourrait être la conséquence d’une injection trop élevée d’insuline, la suite d’un repas sauté ou la portée d’exercices physiques trop épuisants.

Cette baisse du sucre sanguin peut être détectée via les symptômes suivants :

  • Le patient présente des sueurs froides
  • Le battement de son cœur devient nettement plus rapide
  • La personne a un besoin accru de manger
  • Elle présente une sensation de tête légère
  • Ses lèvres et sa langue s’engourdissent
  • Son corps se met à trembler de façon anormale
  • Le patient devient anxieux et aura de la nausée et une envie de vomissement

Dans l’autre cas, l’élévation du sucre sanguin due à une prise insuffisante d’insuline – à la suite d’un repas trop copieux – par la suite d’une épreuve physique ou émotionnelle – lorsqu’une autre maladie atteint affaiblit le patient, est également signalée par des symptômes :

  • Le patient a une soif anormale
  • Son envie d’uriner devient pressante et considérable
  • Sa vision devient floue
  • Dans le cas où cette élévation de la concentration de sucre sanguin continue sans atténuation, des problèmes au niveau des yeux, des riens, des nerfs, voire des vaisseaux sanguins toucheront la personne atteinte du diabète de type 1, et cela de façon irréversible.
  • Des lésions au niveaux des gros vaisseaux sanguins entrainent le rétrécissement des grosses artères (ce qu’on appelle athérosclérose) menaçant le patient de façon grave d’une crise cardiaque, d’un AVC (accident vasculaire cérébral) et d’une diminution du débit du sang au niveau des jambes.
  • Quant aux lésions des petits vaisseaux sanguins, les yeux sont menacés d’un trouble « rétinopathie diabétique » causant la cécité (une des principales causes de cécité en Amérique du Nord chez la tranche d’âge de 20 à 74 ans). Aussi, ces lésions de petits vaisseaux sanguins menacent les reins d’une néphropathie antécédent de l’insuffisance rénale. Et finalement, les nerfs ne sont pas à l’abri d’une neuropathie, à commencer par les nerfs qui composent les membres supérieurs et inférieurs.

Sur le long terme, la complication du diabète de type 1 se traduit en un ralentissement des mouvements de l’estomac et des intestins dû à l’atteinte nerveuse et s’ouvre à un gros risque d’infection, de problèmes de cicatrisation des plaies et d’ulcères.

Tous ces cas sont dangereux et peuvent entrainer la mort si aucune mesure n’est prise dans l’urgence. Le meilleur comportement médical sera alors de toujours surveiller l’équilibre du taux de sucre dans le sang et la recherche de l’équilibre nutritionnel. Cela limitera les complications à court et à long terme, à prendre de l’avance sur les éventuelles manifestations de la maladie et de garder un contrôle sur le taux d’insuline.

Le diabète de type 1, à surveiller de près

Deux niveaux de surveillance sont exigés pour de type de maladie, une surveillance médicale et une surveillance par le patient lui-même.

La surveillance médicale

Celle-ci comprend des examens réguliers permettant le suivi de l’équilibre métabolique du patient, la détection des troubles associés et se posant comme menaces vasculaires, et enfin la prise de mesure face à l’existence et la gravité des complications dégénératives.

La tension artérielle doit être surveillée de près car toute hausse de la tension artérielle menace la personne atteinte du diabète de type 1 de souffrances oculaires et rénales. Le médecin, en réaction et diagnostic normal, lui prescrira des mesures hygiéno-diététiques agissant sur le poids de l’individu et sa consommation d’alcool (à proscrire définitivement) et des médicaments antihypertenseurs.

Il ne suffira pas de surveiller le taux de glycémie, la surveillance médicale comprend également un bilan lipidique. Une personne diabétique de type 1 mal équilibrée sera une proie facile à l’hyperlipidémie (cholestérol et triglycéride). Une hypercholestérolémie serait néfaste sur la santé vasculaire ajouté à l’hyperglycémie et l’hypertension artérielle. De ce fait, le patient devra garder son taux de cholestérol inférieur à 2g/l. Une valeur sensiblement supérieure à cette limite augmente la morbidité vasculaire et la régression des plaques d’athérome.

Enfin, la recherche de traces d’albumines permet de mesurer le risque évolutif du diabète de type 1. Déjà que toute trace d’albumine dans l’organisme représente le premier signe d’une atteinte rénale (néphropathie diabétique), et encore le risque élevé d’une mortalité cardiovasculaire. La présence de micro-albuminurie atteste une élimination urinaire d’albumine.

En résumé, le médecin est tenu de surveiller trois éléments :

  • La tension artérielle, le taux de glycémie, le taux d’hémoglobine, le taux de cholestérol, le taux de triglycéride et le taux de micro-albuminurie, et cela tous les trois mois
  • Un électrocardiogramme, une radiographie du thorax et un examen ophtalmologique tous les ans
  • Une angiofluorographie rétinienne, un électrocardiogramme d’effort, une scintigraphie du myocarde, une échographie Doppler des membres inférieurs et des carotides, etc. selon les besoins et à intervalles éloignés.

La surveillance du patient

Nul ne pourra être meilleur surveillant que le patient lui-même, nul ne pourra au mieux ajuster et adapter son traitement de jour en jour. Le patient surveillera sa maladie en se s’appuyant sur des contrôles de la glycémie sur le sang capillaire. L’analyse de l’urine permettant également de surveiller le taux de sucre et d’acétone, le taux de lipides et donc de mesurer le risque d’acétonurie durant les cas d’hyperglycémie sévère. Des outils sont conçus pour accompagner et faciliter l’auto-surveillance : des auto-piqueurs, des bandelettes et des appareils électroniques fournissant des mesures en temps réel. Un nouvel outil, le stylo auto-piqueur, permet désormais d’obtenir une goutte sans une douleur considérable. En se piquant le majeur, l’annulaire ou l’auriculaire, ou encore le lobe de l’oreille, le patient déposera la goutte prélevée sur une bandelette / une électrode qui ensuite va fournir une indication sur la glycémie à partir de la couleur. Toute personne diabétique de type 1 doit savoir que le nombre d’auto-piqure journalier devra correspondre au nombre d’injections d’insuline et aux objectifs glycémiques. L’idéal est de contrôler son taux de glycémie avant les repas, puis après le repas afin de mieux programmer et doser le la prochaine injection d’insuline.

A son tour, le patient aura donc comme missions de :

  • Prélever régulièrement son taux de glycémie suivant des créneaux horaires
  • Modifier les doses d’insuline auquel il s’injecte
  • Tout ce procédé sera auparavant initié et instruit par l’équipe médicale au patient.

Faire très attention à la maladie coeliaque

Les sujets atteints du diabète de type 1 sont susceptibles d’être touchés par la maladie de coeliaque (suivant un ratio de 1/20). Il s’agit d’une autre maladie auto-immune avec des manifestations digestives dues à la consommation d’une protéine contenue dans les céréales (le gluten). Même sans symptômes évidents, tout patient sujette ou susceptible de diabète de type 1 devrait être dépistée de cette maladie de coeliaque.

Les points à retenir

  • Dès que l’état de santé n’est pas encore menacé par cette maladie irréversible, faire en sorte que son alimentation soit équilibrée et nutritive.
  • Dans le cas où des premiers symptômes du diabète de type 1 apparaissent, prendre les mesures nécessaires sur la régulation du taux d’insuline et éviter toute complication (hypoglycémie ou hyperglycémie).
  • En cas de stade sévère de la maladie, réduire les impacts de la maladie (yeux, reins, nerfs, etc.) en visant la régularité de l’injection d’insuline et en traitant individuellement les complications.